Vous voulez en savoir plus sur le verre ? Recherchez ici tous les termes techniques importants associés.
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Lettre caractérisant le verre anti-effraction (DIN 52290) : A = résistant aux projectiles (A1,A2,A3) ; |
Exprime le volume d'air en mètres-cubes passant par mètre linéaire de joint pendant 1 heure pour une différence de pression d'air de 10 Pa entre le côté intérieur et le côté intempéries |
Absorption énergétique des matériaux |
Cohésion entre deux matériaux différents |
Le plus souvent profil creux métallique (acier, aluminium) séparant les deux plaques d’un verre isolant d’un écart défini. L’intercalaire intègre également l'agent dessiccateur. |
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Verre feuilleté de sécurité revêtu de plusieurs couches ou assemblages, capable de résister à un certain degré de violence. Vitrages anti-effraction, voir DIN EN 356, DIN EN 1063 et DIN 52290 : -Résistant aux projectiles : lettre d’identification P1A à P5A /DIN EN 356)- Anti-effraction : lettre d’identification P6B à P7B (DIN EN 356)- Pare-balles : lettre d’identification BR1 à BR7 (DIN EN 1063)- Anti-explosion : lettre d’identification D (DIN 52290, partie 5, encore valable à l’heure actuelle) |
Effet optique du verre trempé de sécurité. Les zones de tension observées dans le verre trempé de sécurité peuvent conduire à une biréfringence entraînant l'apparition de cercles colorés. Les anisotropies sont clairement identifiables à la lumière polarisée ou entre deux filtres polarisants. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Type de verre présentant une surface irrégulière (avec des traînées et des bulles) |
Abréviation désignant un agent d’étanchéité : Aethylen-Propylen-Terpolymer-Kautschuk (ancienne abréviation de l’EPDM) |
Gaz rare utilisé dans le remplissage pour l'amélioration de la valeur k dans le verre MIG. |
Traitement de la surface vitrée à l’aide de solutions acides. La surface traitée présente un aspect mat. L’amplification de surface accroît la disposition à l’encrassement. |
Voir Coefficient de dilatation thermique |
Arrachage d’une fixation ponctuelle de la couche de PVB d’un vitrage feuilleté de sécurité compromis. |
A |
Lettre caractérisant le verre anti-effraction (DIN 52290) : A = résistant aux projectiles (A1,A2,A3) ; |
Valeur a |
Exprime le volume d'air en mètres-cubes passant par mètre linéaire de joint pendant 1 heure pour une différence de pression d'air de 10 Pa entre le côté intérieur et le côté intempéries |
Absorption |
Absorption énergétique des matériaux |
Adhérence |
Cohésion entre deux matériaux différents |
Intercalaire |
Le plus souvent profil creux métallique (acier, aluminium) séparant les deux plaques d’un verre isolant d’un écart défini. L’intercalaire intègre également l'agent dessiccateur. |
Verre anti-effraction |
Verre feuilleté de sécurité revêtu de plusieurs couches ou assemblages, capable de résister à un certain degré de violence. Vitrages anti-effraction, voir DIN EN 356, DIN EN 1063 et DIN 52290 : -Résistant aux projectiles : lettre d’identification P1A à P5A /DIN EN 356)- Anti-effraction : lettre d’identification P6B à P7B (DIN EN 356)- Pare-balles : lettre d’identification BR1 à BR7 (DIN EN 1063)- Anti-explosion : lettre d’identification D (DIN 52290, partie 5, encore valable à l’heure actuelle) |
Anisotropie |
Effet optique du verre trempé de sécurité. Les zones de tension observées dans le verre trempé de sécurité peuvent conduire à une biréfringence entraînant l'apparition de cercles colorés. Les anisotropies sont clairement identifiables à la lumière polarisée ou entre deux filtres polarisants. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Verre antique |
Type de verre présentant une surface irrégulière (avec des traînées et des bulles) |
APTK |
Abréviation désignant un agent d’étanchéité : Aethylen-Propylen-Terpolymer-Kautschuk (ancienne abréviation de l’EPDM) |
Argon |
Gaz rare utilisé dans le remplissage pour l'amélioration de la valeur k dans le verre MIG. |
Dépolissage |
Traitement de la surface vitrée à l’aide de solutions acides. La surface traitée présente un aspect mat. L’amplification de surface accroît la disposition à l’encrassement. |
Dilatation |
Voir Coefficient de dilatation thermique |
Détachement |
Arrachage d’une fixation ponctuelle de la couche de PVB d’un vitrage feuilleté de sécurité compromis. |
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Lettre caractérisant anciennement le verre anti-effraction (DIN 52290) : B = anti-effraction (B1, B2, ,B3), remplacé par la norme DIN EN 356 (P6B, P7B et P8B). Voir aussi Vitrage anti-effraction et Verre anti-effraction. |
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Les salles et installations de sports doivent être conçues pour résister aux impacts de ballon. Les éléments entrant dans leur construction doivent par conséquent répondre aux exigences de la norme DIN 18032, partie 3. Celle-ci prévoit le test des éléments sous les coups d’un lanceur de balles. Cet aspect fait l’objet d’une certification. |
Ancienne dénomination du vitrage anti-effraction utilisé dans le secteur bancaire (certifications UVV : C2SA/B2, C2SF/B2) |
Assemblage de produits de construction aboutissant Ă une installation structurelle ou une partie d'installation structurelle |
Ancienne dénomination du verre à vitre de production industrielle. Dans la plupart des cas sans aucune finition des bords. |
Concept générique regroupant les panneaux de verre, briques de verre et tuiles de verre |
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Concept englobant les matériaux de construction, éléments de construction et installations fabriqués à des fins d’utilisation durable au sein d’installations structurelles fixées au sol. |
Ensemble des publications relevant du code de la construction publiées par le Deutsche Institut für Bautechnik (DiBt). Celles-ci répertorient les produits de construction et constructions réglementés et non réglementés, ainsi que les règlements applicables. |
Application de couches métalliques sur la surface vitrée (accentuation de l’effet miroir). |
Corps de verre compressé (massif ou creux, voire ouvert à une extrémité) Champ d’application : constructions praticables et carrossables combinées au béton. |
Également « indice de sélectivité ». Indique la transmission d’énergie solaire moyenne en fonction du degré de perméabilité énergétique globale (valeur g) d’une fenêtre à vitrage standard. |
Contrainte de flexion avant rupture bB (Sigma). |
Verre plat fin (parfois antireflet) destiné à l’encadrement photo. |
Verre à base de plomb (teneur minimale de 5 %). Application : Bouclier anti-rayonnement de haute énergie (p. ex. rayons X). |
Intervient dans la plupart des objets creux en verre intégrant du verre composite à base de plomb (teneur minimale en plomb de 24 %, pouvant aller jusqu’à 30 % pour le cristal à forte teneur en plomb). |
Assemblage de verres à l'aide de baguettes de plomb. Essentiellement destiné à la peinture sur verre et aux vitrages d'art. |
Verre d'aspect trouble suite à la dégradation de l’une des couches de revêtement appliquées à sa surface. Phénomène souvent observé suite à l'apparition de défauts d’étanchéité dans le verre MIG. |
Verre à forte teneur en bore, caractérisé par une haute résistance chimique, une haute résistance aux changements de température, mais une résistance mécanique réduite. |
Les éléments de construction en verre ne font l’objet d’aucune régulation concernant les exigences relatives à la protection incendie. La classification des éléments de construction contrôlés selon une classe de résistance (telle que la classe EI30) de la norme EN 13501 sert de base à tout agrément technique général (Abz) ou accord au cas par cas (ZiE). |
Voir aussi Classe de résistance au feu |
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Polissage des bords spécifique présentant un profil semi-circulaire (anciennement polissage semi-circulaire) |
Disque de verre soufflé à la bouche d’un diamètre compris entre 5 et 15 cm. Utilisé dans le verre assemblé au plomb (fenêtre en cul de bouteille, verre soufflé en couronne) |
B | |
Lettre caractérisant anciennement le verre anti-effraction (DIN 52290) : B = anti-effraction (B1, B2, ,B3), remplacé par la norme DIN EN 356 (P6B, P7B et P8B). Voir aussi Vitrage anti-effraction et Verre anti-effraction. | |
Résistance aux impacts de ballon | |
Les salles et installations de sports doivent être conçues pour résister aux impacts de ballon. Les éléments entrant dans leur construction doivent par conséquent répondre aux exigences de la norme DIN 18032, partie 3. Celle-ci prévoit le test des éléments sous les coups d’un lanceur de balles. Cet aspect fait l’objet d’une certification. | |
Verre blindé | |
Ancienne dénomination du vitrage anti-effraction utilisé dans le secteur bancaire (certifications UVV : C2SA/B2, C2SF/B2) | |
Construction | |
Assemblage de produits de construction aboutissant Ă une installation structurelle ou une partie d'installation structurelle | |
Verre de construction | |
Ancienne dénomination du verre à vitre de production industrielle. Dans la plupart des cas sans aucune finition des bords. | |
Béton-verre | |
Concept générique regroupant les panneaux de verre, briques de verre et tuiles de verre | |
Produit de construction | |
Concept englobant les matériaux de construction, éléments de construction et installations fabriqués à des fins d’utilisation durable au sein d’installations structurelles fixées au sol.
Ensemble des publications relevant du code de la construction publiées par le Deutsche Institut für Bautechnik (DiBt). Celles-ci répertorient les produits de construction et constructions réglementés et non réglementés, ainsi que les règlements applicables.
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RevĂŞtement | |
Application de couches métalliques sur la surface vitrée (accentuation de l’effet miroir). | |
Panneau de verre | |
Corps de verre compressé (massif ou creux, voire ouvert à une extrémité)Champ d’application : constructions praticables et carrossables combinées au béton. | |
Facteur b | |
Également « indice de sélectivité ». Indique la transmission d’énergie solaire moyenne en fonction du degré de perméabilité énergétique globale (valeur g) d’une fenêtre à vitrage standard. | |
Résistance à la flexion | |
Contrainte de flexion avant rupture bB (Sigma). | |
Verre d’encadrement | |
Verre plat fin (parfois antireflet) destiné à l’encadrement photo. | |
Verre au plomb | |
Verre à base de plomb (teneur minimale de 5 %). Application : Bouclier anti-rayonnement de haute énergie (p. ex. rayons X). | |
Cristal de plomb | |
Intervient dans la plupart des objets creux en verre intégrant du verre composite à base de plomb (teneur minimale en plomb de 24 %, pouvant aller jusqu’à 30 % pour le cristal à forte teneur en plomb). | |
Verre assemblé au plomb | |
Assemblage de verres à l'aide de baguettes de plomb. Essentiellement destiné à la peinture sur verre et aux vitrages d'art. | |
Verre trouble | |
Verre d'aspect trouble suite à la dégradation de l’une des couches de revêtement appliquées à sa surface. Phénomène souvent observé suite à l'apparition de défauts d’étanchéité dans le verre MIG. | |
Verre borosilicate | |
Verre à forte teneur en bore, caractérisé par une haute résistance chimique, une haute résistance aux changements de température, mais une résistance mécanique réduite. Agrément technique général (Abz) et accord au cas par cas (ZiE) concernant les exigences relatives à la protection incendie Les éléments de construction en verre ne font l’objet d’aucune régulation concernant les exigences relatives à la protection incendie. La classification des éléments de construction contrôlés selon une classe de résistance (telle que la classe EI30) de la norme EN 13501 sert de base à tout agrément technique général (Abz) ou accord au cas par cas (ZiE).
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Verre de protection incendie | |
Voir aussi Classe de résistance au feu | |
Champ incurvé | |
Polissage des bords spécifique présentant un profil semi-circulaire (anciennement polissage semi-circulaire) | |
Cul de bouteille | |
Disque de verre soufflé à la bouche d’un diamètre compris entre 5 et 15 cm. Utilisé dans le verre assemblé au plomb (fenêtre en cul de bouteille, verre soufflé en couronne) |
Lettre caractérisant anciennement le vitrage anti-effraction (DIN 52290) : C = pare-balles (C1 à C5), remplacé par les dénominations BR 1 à BR 7 de la norme DIN EN 1063. Voir aussi Vitrage anti-effraction ou Verre anti-effraction. |
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Le marquage CE indique le respect des prescriptions légales minimales en vigueur. Le fabricant s’engage à ce que le produit soit conforme aux dispositions applicables énoncées dans la législation communautaire d'harmonisation prévoyant son apposition. Celles-ci font l’objet de contrôles sur site tout au long des processus de production. |
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La certification CEKAL repose sur une démarche volontaire. Elle implique le respect d’exigences supplémentaires par rapport aux normes et prescriptions générales applicables au verre. Pour le suivi du haut niveau de qualité des produits, des audits externes sont effectués tous les six mois et peuvent être exigés à des fins d'assurance. Les normes françaises doivent être harmonisées avec les normes européennes (NF 1096 = EN 1096). L'obtention préalable du marquage CE est obligatoire. |
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Plaques de verre assemblées à partir de verre liquide incolore et coloré. |
C | |||
Lettre caractérisant anciennement le vitrage anti-effraction (DIN 52290) : C = pare-balles (C1 à C5), remplacé par les dénominations BR 1 à BR 7 de la norme DIN EN 1063. Voir aussi Vitrage anti-effraction ou Verre anti-effraction.
La certification CEKAL repose sur une démarche volontaire. Elle implique le respect d’exigences supplémentaires par rapport aux normes et prescriptions générales applicables au verre. Pour le suivi du haut niveau de qualité des produits, des audits externes sont effectués tous les six mois et peuvent être exigés à des fins d'assurance. Les normes françaises doivent être harmonisées avec les normes européennes (NF 1096 = EN 1096). L'obtention préalable du marquage CE est obligatoire. | |||
Verre opale | |||
Plaques de verre assemblées à partir de verre liquide incolore et coloré. |
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Lettre caractérisant le vitrage anti-effraction (DIN 52290, encore valable à l’heure actuelle) : D = anti-explosion ; voir aussi Vitrage anti-effraction ou Verre anti-effraction. |
Verre coulé teinté dans la masse, souvent employé dans les poignées de porte en verre. |
Pression acoustique calculée en fonction de la courbe de pondération fréquentielle A (DIN 45633). Cette courbe prend en compte l’interdépendance entre le volume ressenti et la fréquence sonore (hauteur de son). Également unité de mesure du niveau sonore dB(A). Correspond approximativement aux valeurs exprimées en phones à une fréquence de 1000 Hz. |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 3,8 mm d’épaisseur, de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
Quotient de la masse sur le volume. Unité : kg/m³ |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 4,5 à 6,5 mm |
Série de normes servant de base au dimensionnement du verre. Intégrée en 2015 dans le LTB, elle a remplacé les ensembles de règles TRLV, TRPV et TRAV, qui décrivaient jusqu’alors l’état de la technique. Depuis l’introduction de la série de normes DIN 18008, tous les verres employés dans les vitrages destinés à des applications intérieures doivent répondre à des critères de stabilité et d'aptitude au service. |
Ancienne conception de fenêtre incorporant deux cadres et deux vitres (également fenêtre à caisson). |
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Le volume de gaz contenu dans un verre feuilleté isolant produit de par un fléchissement convexe ou concave des plaques de verre un équilibrage de la pression avec la pression ambiante. Selon le fléchissement des plaques de verre se produisent différents effets visuels ou différentes réflexions. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Verre feuilleté de sécurité avec armature métallique. |
Verre coulé avec armature en treillis. Le verre armé ne constitue aucunement un verre de sécurité ! |
Verre coulé avec armature en treillis et surface martelée. |
Verre miroir avec armature en treillis. |
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Le verre flotté présente une résistance à la compression de 700 à 900 N/mm² |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 0,7 à 1,6 mm d’épaisseur, de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
D |
Lettre caractérisant le vitrage anti-effraction (DIN 52290, encore valable à l’heure actuelle) : D = anti-explosion ; voir aussi Vitrage anti-effraction ou Verre anti-effraction. |
Dalle de verre |
Verre coulé teinté dans la masse, souvent employé dans les poignées de porte en verre. |
dB(A) |
Pression acoustique calculée en fonction de la courbe de pondération fréquentielle A (DIN 45633). Cette courbe prend en compte l’interdépendance entre le volume ressenti et la fréquence sonore (hauteur de son). Également unité de mesure du niveau sonore dB(A). Correspond approximativement aux valeurs exprimées en phones à une fréquence de 1000 Hz. |
DD |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 3,8 mm d’épaisseur, de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
Densité |
Quotient de la masse sur le volume. Unité : kg/m³ |
Verre épais |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 4,5 à 6,5 mm DIN 18008, partie 1 à 5 Série de normes servant de base au dimensionnement du verre. Intégrée en 2015 dans le LTB, elle a remplacé les ensembles de règles TRLV, TRPV et TRAV, qui décrivaient jusqu’alors l’état de la technique. Depuis l’introduction de la série de normes DIN 18008, tous les verres employés dans les vitrages destinés à des applications intérieures doivent répondre à des critères de stabilité et d'aptitude au service.
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FenĂŞtre double |
Ancienne conception de fenêtre incorporant deux cadres et deux vitres (également fenêtre à caisson). |
Effet double vitrage |
Le volume de gaz contenu dans un verre feuilleté isolant produit de par un fléchissement convexe ou concave des plaques de verre un équilibrage de la pression avec la pression ambiante. Selon le fléchissement des plaques de verre se produisent différents effets visuels ou différentes réflexions. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Verre feuilleté avec treillis métallique : |
Verre feuilleté de sécurité avec armature métallique. |
Verre armé |
Verre coulé avec armature en treillis. Le verre armé ne constitue aucunement un verre de sécurité ! |
Verre décoratif armé |
Verre coulé avec armature en treillis et surface martelée. |
Glace armée |
Verre miroir avec armature en treillis. |
Résistance à la compression |
Le verre flotté présente une résistance à la compression de 700 à 900 N/mm² |
Verre fin |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 0,7 à 1,6 mm d’épaisseur, de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
|
Verre présentant une plus importante formation de bulles que le verre antique. |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 1,8 mm d’épaisseur, de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
Parfois abrégé : ESG - Verre plat précontraint thermiquement (trempé), présentant une résistance mécanique accrue, ainsi qu’une meilleure résistance aux changements de température. En cas de bris, il se désagrège en une multitude de petits morceaux émoussés de taille égale. Fabrication : la plaque de verre est chauffée au-delà de la température de ramollissement avant d’être refroidie brusquement à l’air froid (trempage). La surface de la plaque se fige ainsi alors que l’intérieur est encore visqueux. Le refroidissement plus lent du cœur de la plaque entraîne un resserrement plus dense de la matière qu’au niveau de la surface. De par cette différence structurelle, l’intérieur du verre (présentant une structure fermée de plus petit volume) maintient la surface de la plaque (présentant une structure ouverte plus volumineuse) sous tension. Le passage du point de rupture du verre trempé de sécurité implique l'application d’une charge mécanique capable de surmonter la tension de surface du verre avant d’induire une modification structurelle (un début de fissure). Tension de surface du verre trempé de sécurité : 120 N/mm², §A 11.4 de la liste des réglementations applicables au bâtiment.
Le verre trempé de sécurité et le verre feuilleté de sécurité se distinguent par leur comportement à la rupture. Le bris de verre trempé de sécurité a tendance à s’émietter en une multitude d’éclats friables alors que les éclats de verre flotté restent collés au film intermédiaire entrant dans la constitution du verre feuilleté de sécurité, sans produire de bords tranchants. |
Voir : Verre espion |
Verre plat doté d’éléments cristallisés. Fabrication : de la colle est appliquée sur une surface dépolie, puis séchée. En durcissant, la colle se déforme, rétrécit et se décolle. Des esquilles de verre se détachent de la surface vitrée. L’effet produit rappelle alors celui des cristaux de glace observés autrefois sur les fenêtres simple vitrage. |
Verre trempé de sécurité recouvert d’un émaillage coloré sur un côté. Le revêtement est cuit au four et résiste par conséquent à l’abrasion. |
Valeur décrivant la capacité d’une surface donnée à refléter le rayonnement thermique. Plus l’émissivité est basse, plus la chaleur rayonnée dans la pièce est importante. |
Procédé par lequel le verre est partiellement cristallisé. Voir aussi Vitrocéramique |
Brique de verres dotées d’orifices d’aération. |
Verre plat dont les effets réfléchissants ont été atténués par l'application de revêtements. |
Dénomination internationale de l’élastomère organique éthylène-propylène-diène monomère (anciennement APTK) |
Plage de températures dans laquelle se situe le point de ramollissement d’un verre liquide. Également température de transition vitreuse (Tg). La valeur Tg du verre flotté se situe à environ 520 °C. |
Voir : Verre trempé de sécurité |
Abréviation de : Eingeführte Technische Baubestimmung (Introduction de nouvelle disposition technique) |
Verre antique véritable |
Verre présentant une plus importante formation de bulles que le verre antique. |
ED |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 1,8 mm d’épaisseur, de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
Verre trempé de sécurité |
Parfois abrégé : ESG - Verre plat précontraint thermiquement (trempé), présentant une résistance mécanique accrue, ainsi qu’une meilleure résistance aux changements de température. En cas de bris, il se désagrège en une multitude de petits morceaux émoussés de taille égale. Fabrication : la plaque de verre est chauffée au-delà de la température de ramollissement avant d’être refroidie brusquement à l’air froid (trempage). La surface de la plaque se fige ainsi alors que l’intérieur est encore visqueux. Le refroidissement plus lent du cœur de la plaque entraîne un resserrement plus dense de la matière qu’au niveau de la surface. De par cette différence structurelle, l’intérieur du verre (présentant une structure fermée de plus petit volume) maintient la surface de la plaque (présentant une structure ouverte plus volumineuse) sous tension. Le passage du point de rupture du verre trempé de sécurité implique l'application d’une charge mécanique capable de surmonter la tension de surface du verre avant d’induire une modification structurelle (un début de fissure). Tension de surface du verre trempé de sécurité : 120 N/mm², §A 11.4 de la liste des réglementations applicables au bâtiment. |
Verre sans tain |
Voir : Verre espion |
Verre cristallisé |
Verre plat doté d’éléments cristallisés. Fabrication : de la colle est appliquée sur une surface dépolie, puis séchée. En durcissant, la colle se déforme, rétrécit et se décolle. Des esquilles de verre se détachent de la surface vitrée. L’effet produit rappelle alors celui des cristaux de glace observés autrefois sur les fenêtres simple vitrage. |
Verre émaillé |
Verre trempé de sécurité recouvert d’un émaillage coloré sur un côté. Le revêtement est cuit au four et résiste par conséquent à l’abrasion. |
Émissivité |
Valeur décrivant la capacité d’une surface donnée à refléter le rayonnement thermique. Plus l’émissivité est basse, plus la chaleur rayonnée dans la pièce est importante. |
Dévitrification |
Procédé par lequel le verre est partiellement cristallisé. Voir aussi Vitrocéramique |
Tuiles de ventilation |
Brique de verres dotées d’orifices d’aération. |
Verre antireflet |
Verre plat dont les effets réfléchissants ont été atténués par l'application de revêtements. |
EPDM |
Dénomination internationale de l’élastomère organique éthylène-propylène-diène monomère (anciennement APTK) |
Température de ramollissement |
Plage de températures dans laquelle se situe le point de ramollissement d’un verre liquide. Également température de transition vitreuse (Tg). La valeur Tg du verre flotté se situe à environ 520 °C. |
ESG |
Voir : Verre trempé de sécurité |
ETB |
Abréviation de : Eingeführte Technische Baubestimmung (Introduction de nouvelle disposition technique) |
Bord biseauté |
Bord formant un angle non droit. (Abréviation DIN : FK) |
Verre teinté |
Verre coloré |
Verre incolore |
Verre utilisé dans les applications optiques, présentant une teneur réduite en fer afin de minimiser la teinte verdâtre. |
Lithographie en couleur |
Coloration verdâtre des verres sodocalciques, résultant de la présence d’oxyde de fer en faible quantité dans les matières premières naturelles. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Verre Ă vitre |
1. Ancienne dénomination du verre plat étiré par traitement mécanique (verre plat, verre miroir) (voir DIN 1249, partie 1) |
Résistant au feu |
Dénomination désormais interdite (anciennement intégrée à l'édition de 1972 de la norme DIN 4102). |
Ignifugé |
Dénomination désormais interdite (anciennement intégrée à l'édition de 1972 de la norme DIN 4102). Également : résistant au feu, hautement résistant au feu |
Polissage au feu |
Finition de la surface vitrée par traitement thermique spécial. Également appelé « échauffement ». |
Verre de protection incendie |
Terme générique regroupant les verres contrôlés, répondant aux exigences de la classe de résistance au feu. |
Classes de résistance au feu (pour les vitrages) |
DIN 4102 a) Classe de résistance au feu G. Prévention de la pénétration du feu sur une certaine durée. b) Classe de résistance au feu F. Prévention additionnelle du rayonnement thermique. c) Classe de résistance au feu T. Vitrages dans les portes ; répond aux exigences de la classe F. Voir Durée de résistance au feu |
Durée de résistance au feu |
Durée de résistance au feu associée aux différentes classes de résistance au feu, correspondant au temps pendant lequel le matériau doit résister (30, 60, 90, 120, 180, 240 minutes). |
Test par le feu |
Test permettant de mettre en évidence le revêtement des plaques d’un verre MIG (révélation par une différence de reflet d’une flamme) |
Verres filtrants |
Verres présentant des propriétés de filtrage des rayonnements. |
FIRESWISS |
Verre de protection incendie de Glas Trösch |
Grammage |
Un mètre-carré de verre flotté présente une masse de 2,5 kg par millimètre d’épaisseur (verre armé : 2,6 kg). |
Verre plat |
Désignation commune à tous les verres (la plupart, des verres silicates sodocalciques ou borosilicates) présentant deux faces parallèles. Généralement produit par procédé flotté (processus de fabrication du verre flotté). |
Transmission indirecte |
Désigne la propagation du son par l’ensemble des éléments reliés à la fenêtre. Également transmission dérivée. |
Verre flint |
Verre optique, Ă teneur en oxyde de plomb, DIN 58925, partie 1. |
Verre flotté |
1. Produits à base de verre plat fabriqués selon le procédé flotté. Le terme « flotté » fait référence au refroidissement du verre liquide en suspension sur un bain d’étain, afin d’obtenir la surface la plus plane possible. 2. Dénomination actuelle du verre miroir, qui n’est pas encore reconnue par la normalisation. |
Fondant |
Additifs ajoutés au mélange verrier (soude, potasse) entraînant la diminution de la température de fusion. |
Acide fluorhydrique |
Solution aqueuse de fluorure d’hydrogène. Traitement de surface entraînant un fort retrait de surface. Utilisé dans le dépolissage du verre. Substance dangereuse pour l’environnement ! |
Mousse de verre |
Voir : Verre cellulaire. |
Bord formant un angle non droit. (Abréviation DIN : FK) |
Verre coloré |
Verre utilisé dans les applications optiques, présentant une teneur réduite en fer afin de minimiser la teinte verdâtre. |
Coloration verdâtre des verres sodocalciques, résultant de la présence d’oxyde de fer en faible quantité dans les matières premières naturelles. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
1. Ancienne dénomination du verre plat étiré par traitement mécanique (verre plat, verre miroir) (voir DIN 1249, partie 1) |
Dénomination désormais interdite (anciennement intégrée à l'édition de 1972 de la norme DIN 4102). |
Dénomination désormais interdite (anciennement intégrée à l'édition de 1972 de la norme DIN 4102). Également : résistant au feu, hautement résistant au feu |
Finition de la surface vitrée par traitement thermique spécial. Également appelé « échauffement ». |
Terme générique regroupant les verres contrôlés, répondant aux exigences de la classe de résistance au feu. |
DIN 4102 a) Classe de résistance au feu G. Prévention de la pénétration du feu sur une certaine durée. b) Classe de résistance au feu F. Prévention additionnelle du rayonnement thermique. c) Classe de résistance au feu T. Vitrages dans les portes ; répond aux exigences de la classe F. Voir Durée de résistance au feu |
Durée de résistance au feu associée aux différentes classes de résistance au feu, correspondant au temps pendant lequel le matériau doit résister (30, 60, 90, 120, 180, 240 minutes). |
Test permettant de mettre en évidence le revêtement des plaques d’un verre MIG (révélation par une différence de reflet d’une flamme) |
Verres présentant des propriétés de filtrage des rayonnements. |
Verre de protection incendie de Glas Trösch. |
Un mètre-carré de verre flotté présente une masse de 2,5 kg par millimètre d’épaisseur (verre armé : 2,6 kg). |
Désignation commune à tous les verres (la plupart, des verres silicates sodocalciques ou borosilicates) présentant deux faces parallèles. Généralement produit par procédé flotté (processus de fabrication du verre flotté). |
Désigne la propagation du son par l’ensemble des éléments reliés à la fenêtre. Également transmission dérivée. |
Verre optique, Ă teneur en oxyde de plomb, DIN 58925, partie 1. |
1. Produits à base de verre plat fabriqués selon le procédé flotté. Le terme « flotté » fait référence au refroidissement du verre liquide en suspension sur un bain d’étain, afin d’obtenir la surface la plus plane possible. 2. Dénomination actuelle du verre miroir, qui n’est pas encore reconnue par la normalisation. |
Additifs ajoutés au mélange verrier (soude, potasse) entraînant la diminution de la température de fusion. |
Solution aqueuse de fluorure d’hydrogène. Traitement de surface entraînant un fort retrait de surface. Utilisé dans le dépolissage du verre. Substance dangereuse pour l’environnement ! |
Voir : Verre cellulaire. |
Installations tout verre |
Constructions de verre dont les vitrages sont entièrement ou partiellement dépourvus de cadre. |
Porte tout verre |
Porte de verre sans cadre. |
Verre d’horticulture |
Terme générique désignant le verre plat utilisé dans le secteur horticole. Vitrage incolore de jardin DIN 11525 ; vitrage de jardin non teinté DIN 11526. |
Verre bombé |
|
Verre plat chauffé dans un four de bombage (le plus souvent du verre trempé de sécurité). |
Bord chanfreiné |
Bord formant un angle de 45 degrés avec la surface vitrée. |
Mélange |
Mélange des matières premières et du calcin, à partir duquel est fabriqué le verre plat. |
Degré de perméabilité énergétique globale |
Valeur g selon la norme DIN 67507 ; exprime la quantité de rayonnement solaire (plage de longueurs d’onde de 300 nm à 2500 nm) pénétrant effectivement dans la pièce. Elle intègre par conséquent le rayonnement direct ( ) et l’entrée de chaleur générée par le réchauffement de la vitre (q) (dégagement de chaleur secondaire vers l’intérieur résultant du rayonnement prolongé et de la convection). La valeur est exprimée sous forme de pourcentage. g = + q |
Bord arasé |
Section de coupe franche avec arêtes cassées. (Voir également Finition des bords) |
Bord rodé |
Bord traité par meulage sur toute la surface. Aspect mat, points dénudés et esquilles admis. Voir également Finition des bords |
Coins tronqués |
Ponçage des coins de plaque. |
Poids |
Voir sous « Densité » ou « Grammage » |
Verre |
Produit de fonte anorganique, figé principalement sans cristallisation. Au sens thermodynamique, le verre est un liquide gelé sous-refroidi. |
Types de verre |
Verres dont la composition chimique diffère (DIN 1259) |
Brique de verre |
Élément de verre creux parallélépipédique (DIN 18175) |
Tuile de verre |
Également : Tuile de toiture en verre. Tuile de toiture transparente pressée en verre. Description et forme correspondant aux tuiles ordinaires en terre. |
Tuile de toiture en verre |
Également : Tuile de verre. Tuile de toiture transparente pressée en verre. Description et forme correspondant aux tuiles ordinaires en terre. |
Poids du verre |
Voir sous « Densité » ou « Grammage » |
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Gravure sur verre | |
Traitement de surface localisé à l'aide d’outils d’usinage fins. | |
Bords du verre | |
Limites périphériques d’une plaque de verre et surface séparant les limites des deux surfaces d’une plaque. DIN 1249, partie 11. | |
Vitrocéramique | |
Produit à base de verre présentant une haute résistance aux changements de température. Elle est produite à partir d’un traitement thermique spécifiquement contrôlé (premier temps de maintien à température de nucléation, deuxième temps de maintien à température de cristallisation) de manière à ce que le verre cristallise en partie (dévitrification). | |
Canne Ă souffler | |
Long tube métallique servant au soufflage du verre fondu en corps creux verriers. | |
Mortier pour verre | |
Masse plastique à durcissement rapide, généralement à deux composants, servant au remplissage des trous entre les perçages et les boulons de fixation ponctuelle, offrant une meilleure complémentarité de forme et une meilleure adhérence. | |
Prisme de verre | |
Ancienne dénomination des panneaux de verre. | |
Estampe | |
= Gravure sur verre | |
Polissage du verre | |
Traitement de surface du verre par usinage (finition des bords, traitement de surface). | |
Raidisseur de verre | |
Élément de renfort d’une construction porteuse en verre feuilleté de sécurité. Souvent associé aux fixations ponctuelles. | |
Brique de verre | |
Élément de verre creux parallélépipédique, voir DIN 18175 | |
Glas Trösch Design | |
Meubles en verre | |
Finition du verre | |
Traitement ultérieur du verre à des fins d'adéquation à un usage particulier. | |
Ciment de verre | |
Liant souvent formé de deux composants servant au collage des éléments de verre.
La GMI est une communauté de biens liée à la fédération du verre plat, qui distribue les labels de qualité RAL aux produits en verre isolant de haute qualité. L'audit externe de la production par un organisme de contrôle mandaté par la GMI garantit la qualité supérieure des produits. Les normes allemandes doivent être harmonisées avec les normes européennes. L'obtention préalable du marquage CE est obligatoire.
| |
Verre étiré de restauration | |
Verre soufflé à la bouche, légèrement étiré. | |
Teinte verte | |
Coloration verdâtre des verres sodocalciques, résultant de la présence d’oxyde de fer en faible quantité dans les matières premières naturelles. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. | |
Verre coulé antique | |
Verre ornemental de caractère antique. | |
Verre coulé | |
Verre coulé et laminé, offrant une protection contre les regards indiscrets, pouvant inclure une armature en treillis. Voir DIN 1249, partie 4, liste des réglementations applicables au bâtiment A 11.2 | |
Valeur g | |
Voir Degré de perméabilité énergétique globale |
Constructions de verre dont les vitrages sont entièrement ou partiellement dépourvus de cadre. |
Porte de verre sans cadre. |
Terme générique désignant le verre plat utilisé dans le secteur horticole. Vitrage incolore de jardin DIN 11525 ; vitrage de jardin non teinté DIN 11526. |
Verre plat chauffé dans un four de bombage (le plus souvent du verre trempé de sécurité). |
Bord formant un angle de 45 degrés avec la surface vitrée. |
Mélange des matières premières et du calcin, à partir duquel est fabriqué le verre plat. |
Valeur g (selon la norme DIN 67507 ) ; exprime la quantité d’énergie tirée du rayonnement solaire pénétrant dans la pièce à travers le vitrage (plage de longueurs d’onde de 300 nm à 2500 nm). Plus la valeur g est élevée, plus l'apport d’énergie, et donc de chaleur, est important. Cette valeur est utilisée pour déterminer les besoins en verre de protection solaire. Le vitrage de protection thermique s’impose en effet dans de nombreux cas d’applications les plus variés, notamment dans les bâtiments présentant d'importantes surfaces vitrées tels que les jardins d’hiver ou les immeubles d’habitation aux vitrages imposants, afin d’éviter la surchauffe du bâtiment sous les rayons du soleil en été. Le choix d’un revêtement approprié permet également de réduire la facture d’énergie liée à la climatisation. |
Section de coupe franche avec arêtes cassées. (Voir également Finition des bords) |
Bord traité par meulage sur toute la surface. Aspect mat, points dénudés et esquilles admis. Voir également Finition des bords |
Ponçage des coins de plaque. |
Voir sous « Densité » ou « Grammage » |
Produit de fonte anorganique, figé principalement sans cristallisation. Au sens thermodynamique, le verre est un liquide gelé sous-refroidi. |
Verres dont la composition chimique diffère (DIN 1259) |
Élément de verre creux parallélépipédique (DIN 18175) |
Également : Tuile de toiture en verre. Tuile de toiture transparente pressée en verre. Description et forme correspondant aux tuiles ordinaires en terre. |
Également : Tuile de verre. Tuile de toiture transparente pressée en verre. Description et forme correspondant aux tuiles ordinaires en terre. |
Voir sous « Densité » ou « Grammage » |
Traitement de surface localisé à l'aide d’outils d’usinage fins. |
Limites périphériques d’une plaque de verre et surface séparant les limites des deux surfaces d’une plaque. DIN 1249, partie 11. |
Produit à base de verre présentant une haute résistance aux changements de température. Elle est produite à partir d’un traitement thermique spécifiquement contrôlé (premier temps de maintien à température de nucléation, deuxième temps de maintien à température de cristallisation) de manière à ce que le verre cristallise en partie (dévitrification). |
Canne Ă souffler |
Long tube métallique servant au soufflage du verre fondu en corps creux verriers. |
Masse plastique à durcissement rapide, généralement à deux composants, servant au remplissage des trous entre les perçages et les boulons de fixation ponctuelle, offrant une meilleure complémentarité de forme et une meilleure adhérence. |
Ancienne dénomination des panneaux de verre. |
= Gravure sur verre |
Traitement de surface du verre par usinage (finition des bords, traitement de surface). |
Élément de renfort d’une construction porteuse en verre feuilleté de sécurité. Souvent associé aux fixations ponctuelles. |
Élément de verre creux parallélépipédique, voir DIN 18175 |
Meubles en verre |
Traitement ultérieur du verre à des fins d'adéquation à un usage particulier. |
Liant souvent formé de deux composants servant au collage des éléments de verre. |
La GMI est une communauté de biens liée à la fédération du verre plat, qui distribue les labels de qualité RAL aux produits en verre isolant de haute qualité. L'audit externe de la production par un organisme de contrôle mandaté par la GMI garantit la qualité supérieure des produits. Les normes allemandes doivent être harmonisées avec les normes européennes. L'obtention préalable du marquage CE est obligatoire. |
Verre soufflé à la bouche, légèrement étiré. |
Coloration verdâtre des verres sodocalciques, résultant de la présence d’oxyde de fer en faible quantité dans les matières premières naturelles. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Verre ornemental de caractère antique. |
Verre coulé et laminé, offrant une protection contre les regards indiscrets, pouvant inclure une armature en treillis. Voir DIN 1249, partie 4, liste des réglementations applicables au bâtiment A 11.2 |
Verre durci |
Ancienne dénomination du verre trempé de sécurité spécial. (Remarque : le verre trempé de sécurité ne se distingue pas par une dureté accrue) |
Test Heat-Soak |
Test de stockage à haute température du verre trempé de sécurité consistant à maintenir le verre pendant 8 heures à une température de four moyenne de 290 °C (±10 K). Il doit conduire à la transformation haute température-basse température des inclusions de sulfure de nickel, pouvant conduire à la rupture spontanée. Exigé notamment pour les vitrages antichutes, les vitres de façade et les vitrages linéaires non quadrilatéraux en verre trempé de sécurité. |
Test de stockage à haute température |
Voir Test Heat-Soak |
Vitres chauffantes |
Vitrage pouvant être chauffé par le biais d’une armature conductrice ou d’une couche spéciale intégrée (lunette arrière chauffante dans les automobiles) |
Peinture sur verre |
Production artistique consistant Ă peindre sur le verre. |
Verre résistant à la chaleur |
Verre borosilicate présentant un faible coefficient de dilatation et une haute résistance aux changements de température. |
Cristal Ă forte teneur en plomb |
Voir Cristal de plomb |
Hautement résistant au feu |
Dénomination désormais interdite (anciennement intégrée à l'édition de 1972 de la norme DIN 4102). |
Test HS |
Voir Test Heat-Soak |
Ancienne dénomination du verre trempé de sécurité spécial. (Remarque : le verre trempé de sécurité ne se distingue pas par une dureté accrue) |
Test de stockage à haute température du verre trempé de sécurité consistant à maintenir le verre pendant 8 heures à une température de four moyenne de 290 °C (±10 K). Il doit conduire à la transformation haute température-basse température des inclusions de sulfure de nickel, pouvant conduire à la rupture spontanée. Exigé notamment pour les vitrages antichutes, les vitres de façade et les vitrages linéaires non quadrilatéraux en verre trempé de sécurité. |
Voir Test Heat-Soak |
Vitrage pouvant être chauffé par le biais d’une armature conductrice ou d’une couche spéciale intégrée (lunette arrière chauffante dans les automobiles) |
Production artistique consistant Ă peindre sur le verre. |
Verre borosilicate présentant un faible coefficient de dilatation et une haute résistance aux changements de température. |
Voir Cristal de plomb |
Dénomination désormais interdite (anciennement intégrée à l'édition de 1972 de la norme DIN 4102). |
Voir Test Heat-Soak |
Perméabilité au rayonnement infrarouge |
Les verres non teintés offrent une transmission de lumière élevée dans la plage de longueurs d’onde de 780 à 2800 nm (décroissant de 780 à 2800 nm). Les verres sodocalciques présentent une bande d'absorption à 2,85 m. |
Formation d’îlots (bris) |
On parle de formation d’îlots de verre lorsque les arêtes de rupture n'atteignent pas les arêtes de la vitre. Ce phénomène s’observe fréquemment dans le verre durci. |
Intercept |
Intercalaire (comparable au profilé en U) réduisant l’importance du pont thermique, souvent en acier. |
Phénomènes d’interférences |
Également connus sous l’appellation « points de Newton ». Influence réciproque entre plusieurs surfaces vitrées et les rayons lumineux. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Irisation |
Perception des couleurs de l’arc-en-ciel à la surface du verre (résultant en partie de la dégradation de la surface). Peut également être induite volontairement par un revêtement spécial. |
Verre isolant |
Voir : Verre isolant multicouches. |
Les verres non teintés offrent une transmission de lumière élevée dans la plage de longueurs d’onde de 780 à 2800 nm (décroissant de 780 à 2800 nm). Les verres sodocalciques présentent une bande d'absorption à 2,85 m. |
On parle de formation d’îlots de verre lorsque les arêtes de rupture n'atteignent pas les arêtes de la vitre. Ce phénomène s’observe fréquemment dans le verre durci. |
Intercalaire (comparable au profilé en U) réduisant l’importance du pont thermique, souvent en acier. |
Également connus sous l’appellation « points de Newton ». Influence réciproque entre plusieurs surfaces vitrées et les rayons lumineux. Ce phénomène ne constitue aucunement un défaut de fabrication. |
Perception des couleurs de l’arc-en-ciel à la surface du verre (résultant en partie de la dégradation de la surface). Peut également être induite volontairement par un revêtement spécial. |
Voir : Verre isolant multicouches. |
Bord calibré |
Voir : Finition des bords |
Voir : Finition des bords |
Verre sodocalcique | ||
Verre standard représentant le type de verre le plus répandu. C'est le verre le plus couramment utilisé dans la fabrication des verres creux de conditionnement (bouteilles et verres) et du verre plat (pour fenêtres et miroirs). Pour marquer la distinction avec le verre trempé (verre cristal), le verre sodocalcique est également appelé verre souple.
| ||
Finition des bords | ||
Bord coupé (abréviation selon DIN 1249-12 : KG | ||
FenĂŞtre Ă caisson | ||
Fenêtre double constituée d’un battant intérieur et d’un battant extérieur à simple vitrage. Encore courante dans les anciennes constructions. | ||
Effet Katheder | ||
Du nom de Friedrich Katheder qui a étudié étroitement l'assemblage des plaques d’un verre MIG séparées par un volume d'air. La charge superficielle des plaques individuelles est répartie sur l’ensemble. | ||
Verre cathédrale | ||
Verre coulé présentant une structure martelée. | ||
Verre de quartz | ||
Verre présentant une teneur à 100 % de SiO2, une haute résistance aux changements de température et une perméabilité accrue aux rayons UV. | ||
Kilogramme-force ou kilogramme-poids (kgf ou kp) | ||
Unité de mesure de la force (conversion : 1 kp = 9,81 N. Valeur de calcul : 10 N) | ||
Charge climatique | ||
Détermination de la pression différentielle induite par les conditions climatiques dans l’espace intercalaire d’un verre MIG. Peut être dépassée occasionnellement de plusieurs kN/m² en raison de la charge induite par la neige ou la charge due au vent. Les charges climatiques doivent être prises en compte dans le dimensionnement des verres MIG selon les nouvelles Règles techniques pour les vitrages de forme linéaire.
La certification KOMO est une déclaration et garantie de conformité attestant de la qualité supérieure des verres isolants, en accord avec la réglementation néerlandaise. Un audit externe annuel de la production atteste du maintien d’une qualité exigeante et peut conditionner l’attribution de subventions publiques. Les normes néerlandaises sont en adéquation avec les normes européennes (NEN1096 = EN 1096). L'obtention préalable du marquage CE est obligatoire. | ||
Cohésion | ||
Cohérence physique intrinsèque d’un matériau. | ||
Eau de condensation | ||
Résultat de l’entrée en contact de l’humidité contenue dans l'air avec des éléments froids (phénomène de pont thermique) lorsque le taux d’humidité maximal est dépassé. S’observe notamment sur les verres d’isolation thermique à fort pouvoir isolant lors des phases transitoires (formation de buée sur la vitre extérieure). | ||
Concave | ||
Incurvé vers l’intérieur. | ||
Convexe | ||
Incurvé vers l’extérieur. | ||
Verre cristal | ||
Désignation générique de la plupart des verres creux polis contenant généralement du plomb. | ||
Verre miroir cristal | ||
Anciennement : verre coulé laminé, poli des deux côtés. Aujourd’hui : verre miroir produit par procédé flotté. | ||
Verre crown | ||
Groupe de verres optiques, DIN 58925, partie 1. | ||
Crypton | ||
Gaz rare utilisé dans le remplissage pour l'amélioration de la valeur k dans le verre MIG. |
Verre standard représentant le type de verre le plus répandu. C'est le verre le plus couramment utilisé dans la fabrication des verres creux de conditionnement (bouteilles et verres) et du verre plat (pour fenêtres et miroirs). Pour marquer la distinction avec le verre trempé (verre cristal), le verre sodocalcique est également appelé verre souple. |
Bord droit coupé à environ 90 ° de la surface du verre (section de coupe). Voir : Finition des bords |
Bord coupé (abréviation selon DIN 1249-12 : KG |
Fenêtre double constituée d’un battant intérieur et d’un battant extérieur à simple vitrage. Encore courante dans les anciennes constructions. |
Du nom de Friedrich Katheder qui a étudié étroitement l'assemblage des plaques d’un verre MIG séparées par un volume d'air. La charge superficielle des plaques individuelles est répartie sur l’ensemble. |
Verre coulé présentant une structure martelée |
Verre présentant une teneur à 100 % de SiO2, une haute résistance aux changements de température et une perméabilité accrue aux rayons UV. |
Unité de mesure de la force (conversion : 1 kp = 9,81 N. Valeur de calcul : 10 N) |
La certification KOMO est une déclaration et garantie de conformité attestant de la qualité supérieure des verres isolants, en accord avec la réglementation néerlandaise. Un audit externe annuel de la production atteste du maintien d’une qualité exigeante et peut conditionner l’attribution de subventions publiques. Les normes néerlandaises sont en adéquation avec les normes européennes (NEN1096 = EN 1096). L'obtention préalable du marquage CE est obligatoire.
|
Cohérence physique intrinsèque d’un matériau. |
Résultat de l’entrée en contact de l’humidité contenue dans l'air avec des éléments froids (phénomène de pont thermique) lorsque le taux d’humidité maximal est dépassé. S’observe notamment sur les verres d’isolation thermique à fort pouvoir isolant lors des phases transitoires (formation de buée sur la vitre extérieure). |
Incurvé vers l’intérieur. |
Incurvé vers l’extérieur. |
Désignation générique de la plupart des verres creux polis contenant généralement du plomb. |
Anciennement : verre coulé laminé, poli des deux côtés. Aujourd’hui : verre miroir produit par procédé flotté. |
Groupe de verres optiques, DIN 58925, partie 1. |
Gaz rare utilisé dans le remplissage pour l'amélioration de la valeur k dans le verre MIG. |
Brique de verre à guidage de lumière |
Brique de verre dont la surface est travaillée pour guider la lumière |
Atténuation de lumière |
Atténuation de la pénétration de lumière par absorption ou réflexion. |
Dispersion lumineuse |
Dispersion de la lumière entrante par diffusion ou réflexion. |
Transmission lumineuse / Perméabilité à la lumière |
La transmission lumineuse exprime le taux de rayonnement visible traversant directement une vitre dans la plage de longueurs d’onde de la lumière visible de 380 nm à 780 nm, d’après la photosensibilité spectrale de l'œil humain. Elle est indiquée sous la forme d’un pourcentage et dépend entre autres grandement de l’épaisseur du verre. Des variations insignifiantes peuvent être observées selon la teneur en oxyde de fer du verre. Le verre flotté en simple vitrage présente ainsi une transmission de lumière de 90 % dans la plage spectrale visible. Le verre isolant sans revêtement, composé de deux plaques de verre flotté, présente une transmission de lumière d’environ 80 %. Le verre isolant revêtu présente une transmission de lumière d’environ 75 à 80 % |
Valeur k linéaire |
Coefficient de déperdition due aux ponts thermiques (autre dénomination : Valeur Psi) Permet d’évaluer l’importance du pont thermique d’une fenêtre. |
Briques d'aération |
Voir : Tuiles de ventilation. |
LUXAR |
Verre antireflet de Glas Trösch |
Brique de verre dont la surface est travaillée pour guider la lumière |
Atténuation de la pénétration de lumière par absorption ou réflexion. |
Dispersion de la lumière entrante par diffusion ou réflexion. |
La transmission lumineuse exprime le taux de rayonnement visible traversant directement une vitre dans la plage de longueurs d’onde de la lumière visible de 380 nm à 780 nm, d’après la photosensibilité spectrale de l'œil humain. Elle est indiquée sous la forme d’un pourcentage et dépend entre autres grandement de l’épaisseur du verre. Des variations insignifiantes peuvent être observées selon la teneur en oxyde de fer du verre. Le verre flotté en simple vitrage présente ainsi une transmission de lumière de 90 % dans la plage spectrale visible. Le verre isolant sans revêtement, composé de deux plaques de verre flotté, présente une transmission de lumière d’environ 80 %. Le verre isolant revêtu présente une transmission de lumière d’environ 75 à 80 % |
Coefficient de déperdition due aux ponts thermiques (autre dénomination : Valeur Psi) Permet d’évaluer l’importance du pont thermique d’une fenêtre. |
Voir : Tuiles de ventilation. |
Verre antireflet de Glas Trösch |
Verre étiré en machine |
Ancienne dénomination du verre à vitre étiré par traitement mécanique. |
Bord égrisé dans la masse |
Bord traité par meulage sur toute la surface. Aspect mat, points dénudés et esquilles admis. (Voir également Finition des bords) |
Master carré |
Verre coulé spécial (aspect gaufré, petits carrés) |
Master ligne |
Verre coulé spécial (tracés linéaires) |
Master Ray |
Verre coulé spécial (aspect gaufré, petits rectangles) |
Appariement |
Harmonisation des teintes entre les vitres de façade et les fenêtres en façade tenant compte de l’influence de la lumière (avec ou sans éclairage intérieur) |
Givrage |
Voir : Dépolissage |
Verre mat |
Verre plat dépoli par sablage ou à l’acide sur une ou les deux faces. Haute sensibilité à l’encrassement. Pour le verre feuilleté de sécurité, l’effet mat est obtenu par application d’un film mat. |
Dépolissage |
Traitement de surface du verre par dépolissage, sablage ou meulage. |
MD |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 2,8 mm d’épaisseur (épaisseur moyenne) de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
Verre isolant multicouches, abréviation : MIG. |
Unités de vitrage résultant de l’assemblage de plusieurs plaques de verres séparées l’une de l'autre par un espace intercalaire. Les profils intercalaires garantissent l’écartement entre les plaques. L’espace intercalaire peut être rempli d'air sec ou de gaz et mélanges de gaz ; les unités sont étanches à l’humidité et à l’air sur tout le pourtour et reliées entre elles par des matériaux de scellement organiques. (Les bords étaient parfois partiellement soudés) MIG à remplissage d'air : Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.5.1/2 (DIN 1286-1) MIG à remplissage d'air avec revêtement : Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.7 (DIN 1286-1) MIG à remplissage de gaz avec revêtement : Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.6 (DIN 1286-2) Différence d’épaisseur du verre isolant (plaques et espaces intercalaires) : ± 1 mm |
Vitrage au laiton |
Vitrage intégrant des croisillons en laiton ou baguettes de plomb recouvertes de laiton. |
MIG |
Abréviation désignant le verre isolant multicouche. |
Verre opale plaqué |
Verre incolore présentant l'aspect d’un dépôt laiteux (plaquage). |
Verre millefiori : |
Verre obtenu par la fusion de baguettes de verre multicolores juxtaposées et englobées dans une masse de verre non teinté. Finition artistique (aspect le plus fréquent : Presse-papiers) Méthode connue depuis env. l'an 1000 avant J.-C. |
Vitre modèle |
Tout format de vitre différent du carré ou du rectangle. |
Verre crown (disque lunaire) |
Plaque de verre de forme ronde soufflée à la bouche d’environ 1 mètre de diamètre. |
Monolithique |
Structure de plaque simple et homogène (par opposition à l’assemblage de plaques dans les structures feuilletées par exemple) |
Soufflage Ă la bouche |
Fabrication du verre à l'aide d’une canne à souffler. Encore utilisé dans la fabrication de nombreux verres teintés et spéciaux, notamment dans l’artisanat. |
Ancienne dénomination du verre à vitre étiré par traitement mécanique. |
Bord traité par meulage sur toute la surface. Aspect mat, points dénudés et esquilles admis. (Voir également Finition des bords) |
Verre coulé spécial (aspect gaufré, petits carrés) |
Verre coulé spécial (tracés linéaires) |
Verre coulé spécial (aspect gaufré, petits rectangles) |
Harmonisation des teintes entre les vitres de façade et les fenêtres en façade tenant compte de l’influence de la lumière (avec ou sans éclairage intérieur) |
Voir : Dépolissage |
Verre plat dépoli par sablage ou à l’acide sur une ou les deux faces. Haute sensibilité à l’encrassement. Pour le verre feuilleté de sécurité, l’effet mat est obtenu par application d’un film mat. |
Traitement de surface du verre par dépolissage, sablage ou meulage. |
Ancienne dénomination de l’épaisseur nominale du verre à vitre de 2,8 mm d’épaisseur (épaisseur moyenne) de production industrielle. Par ordre d’épaisseur croissante, on trouve : verre fin - verre à vitre EE, MD, DD - verre épais |
|
Unités de vitrage résultant de l’assemblage de plusieurs plaques de verres séparées l’une de l'autre par un espace intercalaire. Les profils intercalaires garantissent l’écartement entre les plaques. L’espace intercalaire peut être rempli d'air sec ou de gaz et mélanges de gaz ; les unités sont étanches à l’humidité et à l’air sur tout le pourtour et reliées entre elles par des matériaux de scellement organiques. (Les bords étaient parfois partiellement soudés) MIG à remplissage d'air : Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.5.1/2 (DIN 1286-1) MIG à remplissage d'air avec revêtement : Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.7 (DIN 1286-1) MIG à remplissage de gaz avec revêtement : Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.6 (DIN 1286-2) Différence d’épaisseur du verre isolant (plaques et espaces intercalaires) : ± 1 mm |
Vitrage intégrant des croisillons en laiton ou baguettes de plomb recouvertes de laiton. |
Abréviation désignant le verre isolant multicouche. |
Verre incolore présentant l'aspect d’un dépôt laiteux (plaquage). |
Verre obtenu par la fusion de baguettes de verre multicolores juxtaposées et englobées dans une masse de verre non teinté. Finition artistique (aspect le plus fréquent : Presse-papiers) Méthode connue depuis env. l'an 1000 avant J.-C. |
Tout format de vitre différent du carré ou du rectangle. |
Plaque de verre de forme ronde soufflée à la bouche d’environ 1 mètre de diamètre. |
Structure de plaque simple et homogène (par opposition à l’assemblage de plaques dans les structures feuilletées par exemple) |
Fabrication du verre à l'aide d’une canne à souffler. Encore utilisé dans la fabrication de nombreux verres teintés et spéciaux, notamment dans l’artisanat. |
Finition de surface : |
Traitement ultérieur de la surface du verre plat par meulage, dépolissage, sablage, cristallisation ou émaillage. |
OG |
Polissage des bords spécial à l’aide de profilés concaves ou convexes |
Opaque |
Non transparent |
Verre ornemental |
Verre coulé avec finition spéciale de surface |
Traitement ultérieur de la surface du verre plat par meulage, dépolissage, sablage, cristallisation ou émaillage. |
Polissage des bords spécial à l’aide de profilés concaves ou convexes |
Non transparent |
Verre coulé avec finition spéciale de surface |
Verre blindé |
Ancienne dénomination du verre feuilleté de sécurité pare-balles. |
Module photovoltaĂŻque |
Abréviation : Module PV. Généralement constitué de semi-conducteurs en silicium (cellules solaires), capables de produire de l’électricité à partir du rayonnement lumineux. Rendement : cellules monocristallines : 12 à 16 %, cellules polycristallines : 9 à 14 %, cellules amorphes : 4 à 5 % |
Résistance des plaques |
Valeur conforme Ă la norme DIN 52612 |
Bord poli |
Voir : Finition des bords |
Verre homologué |
Verre ayant obtenu l'autorisation de commercialisation FTZ |
Verre pressé |
Voir : Brique de verre, panneau de verre |
Prisme |
Voir : Brique de verre, panneau de verre |
Verre profilé |
Verre coulé profilé en U (traverse large, flancs étroits). Surface ornementée. Peut intégrer une armature métallique. DIN 1249 partie 5. Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.3 |
PVB |
Abréviation de polyvinyle butyral. |
Module PV |
Abréviation de Module photovoltaïque |
Ancienne dénomination du verre feuilleté de sécurité pare-balles. |
Abréviation : Module PV. Généralement constitué de semi-conducteurs en silicium (cellules solaires), capables de produire de l’électricité à partir du rayonnement lumineux. Rendement : cellules monocristallines : 12 à 16 %, cellules polycristallines : 9 à 14 %, cellules amorphes : 4 à 5 % |
Valeur conforme Ă la norme DIN 52612 |
Voir : Finition des bords |
Verre ayant obtenu l'autorisation de commercialisation FTZ |
Voir : Brique de verre, panneau de verre |
Voir : Brique de verre, panneau de verre |
Verre coulé profilé en U (traverse large, flancs étroits). Surface ornementée. Peut intégrer une armature métallique. DIN 1249 partie 5. Liste des réglementations applicables au bâtiment §A 11.3 |
Abréviation de polyvinyle butyral. |
Abréviation de Module photovoltaïque |
Verre de quartz |
Verre constitué à près de 100 % d'acide silicique. |
Verre constitué à près de 100 % d'acide silicique. |
Verre peu réfléchissant |
Verre plat avec revêtement atténuant les reflets. |
Résistance résiduelle |
Capacité à maintenir l’intégrité de forme (visuelle) ou l’intégrité fonctionnelle du vitrage en cas de rupture mécanique (p. ex. protection antichute). Testée par le biais de tests de résistance. |
Verre brut |
Verre coulé laminé présentant une surface d'aspect martelé |
Polissage semi-circulaire |
Meulage des bords du verre en un quart de plein-cintre. N’est plus utilisé (Finition actuelle : champ incurvé) |
Valeur Rw |
L’indice d'affaiblissement acoustique estimé Rw exprime la capacité d’isolation acoustique d’un élément de construction. La propagation du son par les éléments constructifs ou d’encadrement n’est pas prise en compte. [dB]Autres indices d'affaiblissement acoustique : R'w ; R'w,B : Indice d'affaiblissement acoustique estimé incluant la propagation du son par les éléments d’encadrement (fenêtre encastrée). Rw,P : Indice d'affaiblissement acoustique estimé ne prenant pas en compte l’influence des éléments de construction d’encadrement selon DIN 52210. Apparaît sous le libellé Rw dans les certificats de contrôle. R’w,Res : Indice d'affaiblissement acoustique résultant d’une paroi (avec les fenêtres, portes, volets, etc.) |
Verre plat avec revêtement atténuant les reflets. |
Capacité à maintenir l’intégrité de forme (visuelle) ou l’intégrité fonctionnelle du vitrage en cas de rupture mécanique (p. ex. protection antichute). Testée par le biais de tests de résistance. |
Verre coulé laminé présentant une surface d'aspect martelé |
Meulage des bords du verre en un quart de plein-cintre. N’est plus utilisé (Finition actuelle : champ incurvé) |
L’indice d'affaiblissement acoustique estimé Rw exprime la capacité d’isolation acoustique d’un élément de construction. La propagation du son par les éléments constructifs ou d’encadrement n’est pas prise en compte. [dB]Autres indices d'affaiblissement acoustique : R'w ; R'w,B : Indice d'affaiblissement acoustique estimé incluant la propagation du son par les éléments d’encadrement (fenêtre encastrée). Rw,P : Indice d'affaiblissement acoustique estimé ne prenant pas en compte l’influence des éléments de construction d’encadrement selon DIN 52210. Apparaît sous le libellé Rw dans les certificats de contrôle. R’w,Res : Indice d'affaiblissement acoustique résultant d’une paroi (avec les fenêtres, portes, volets, etc.) |
Verre salin |
Voir : Verre d’encadrement |
SANCO ALARM |
Verre isolant avec système pare-soleil mobile Glas Trösch intégré dans l’espace intercalaire |
SANCO CONTROLL |
Verre isolant avec système pare-soleil mobile Glas Trösch intégré dans l’espace intercalaire
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SANCO DUR |
Verre trempé de sécurité de Glas Trösch
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SANCO DUR TVG |
Verre durci de Glas Trösch
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SANCO LAMEX |
Verre feuilleté de sécurité de Glas Trösch
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SANCO SILVERSTAR Phon |
Verre d’isolation acoustique de Glas Trösch
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SANCO PRINT |
Verre sérigraphié de Glas Trösch |
SANCO Safe |
Verre anti-effraction de Glas Trösch |
SANCO SILVERSTAR N |
Verre d’isolation thermique de Glas Trösch |
SANCO SILVERSTAR EN |
Verre d’isolation thermique de Glas Trösch |
SANCO SILVERSTAR COMBI |
Verre de protection solaire de Glas Trösch
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SANCO SILVERSTAR SELEKT |
Verre combinant protection solaire et isolation thermique de Glas Trösch
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Sablage |
Dépolissage de la surface vitrée au moyen d’une sableuse |
Satinage |
Dépolissage de la surface vitrée à l’acide ou par sablage |
Arasement |
Meulage des sections de coupe. Les bords ne sont pas travaillés.
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Dépolissage à l’acide |
Voir : Dépolissage
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Verre d’isolation acoustique (le plus souvent assemblage de verre isolant) |
L’isolation acoustique (atténuation accrue des bruits) peut être obtenue par l'assemblage de plusieurs épaisseurs de verre, divers remplissages de gaz (SF6) dans l’espace intercalaire, ou encore par l’assemblage de verres feuilletés de sécurité ou de vitres feuilletées en résine coulée. Le verre feuilleté de sécurité peut également être recouvert d’un film de protection acoustique.
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Verre cellulaire |
Mousse de verre incorporant des bulles d'air (ou de gaz) et présentant de bonnes propriétés d’isolation (DIN18174) |
Section de coupe |
Bord brut, non travaillé. (Voir également Finition des bords) |
Hexafluorure de soufre |
Gaz lourd qui, employé dans le verre MIG, entraîne une hausse de l’isolation acoustique (mais dégrade la valeur U du vitrage).
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Verre de protection pour la soudure |
Verre teinté aux propriétés filtrantes spécifiques.
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SF6 |
Hexafluorure de soufre ; gaz lourd qui, employé dans le verre MIG, entraîne une hausse de l’isolation acoustique (mais dégrade la valeur U du vitrage) |
Voir : Verre d’encadrement |
Verre isolant avec système pare-soleil mobile Glas Trösch intégré dans l’espace intercalaire |
Verre isolant avec système pare-soleil mobile Glas Trösch intégré dans l’espace intercalaire |
Verre trempé de sécurité de Glas Trösch |
Verre durci de Glas Trösch |
Verre feuilleté de sécurité de Glas Trösch |
Verre d’isolation acoustique de Glas Trösch |
Verre sérigraphié de Glas Trösch |
Verre anti-effraction de Glas Trösch |
Verre d’isolation thermique de Glas Trösch |
Verre d’isolation thermique de Glas Trösch |
Verre de protection solaire de Glas Trösch |
Verre combinant protection solaire et isolation thermique de Glas Trösch |
Dépolissage de la surface vitrée au moyen d’une sableuse |
Dépolissage de la surface vitrée à l’acide ou par sablage |
Meulage des sections de coupe. Les bords ne sont pas travaillés. |
Voir : Dépolissage |
L’isolation acoustique (atténuation accrue des bruits) peut être obtenue par l'assemblage de plusieurs épaisseurs de verre, divers remplissages de gaz (SF6) dans l’espace intercalaire, ou encore par l’assemblage de verres feuilletés de sécurité ou de vitres feuilletées en résine coulée. Le verre feuilleté de sécurité peut également être recouvert d’un film de protection acoustique. |
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Mousse de verre incorporant des bulles d'air (ou de gaz) et présentant de bonnes propriétés d’isolation (DIN18174) |
Bord brut, non travaillé. (Voir également Finition des bords) |
Gaz lourd qui, employé dans le verre MIG, entraîne une hausse de l’isolation acoustique (mais dégrade la valeur U du vitrage). |
Verre teinté aux propriétés filtrantes spécifiques. |
Hexafluorure de soufre ; gaz lourd qui, employé dans le verre MIG, entraîne une hausse de l’isolation acoustique (mais dégrade la valeur U du vitrage) |
Valeur U | ||||||||
Exprime la quantité de chaleur (W) traversant un élément de construction par mètre-carré (m²) de surface pour une différence de température de 1 K. | ||||||||
Verre plaqué | ||||||||
Verre double-couche résultant de l'assemblage homogène d’une couche de base incolore ou teintée et d’une couche d’enrobage de mêmes dimensions, également incolore ou teintée. | ||||||||
Couverture en verre | ||||||||
Abréviation : ÜKV. | ||||||||
ĂśKV | ||||||||
Abréviation (allemande) utilisée pour les couvertures en verre | ||||||||
Ultra-violet | ||||||||
UV. Plage de rayonnements Ă ondes courtes. | ||||||||
Réfraction irrégulière | ||||||||
Voir Anisotropie. | ||||||||
Valeur U | ||||||||
Nouvelle dénomination de la valeur k | ||||||||
Marquage Ăś | ||||||||
Exprime la conformité d’un produit à la liste des réglementations applicables au bâtiment. 1. Nom du fabricant 2. Éléments fondamentaux du certificat de conformité
3. Cachet ou désignation de l’organisme de certification, dans la mesure où son intervention est exigée. |
Valeur définie dans les normes EN (anciennement valeur k) exprimant la transmission thermique, reflétant le coefficient de transmission thermique. Le coefficient de transmission thermique indique la quantité de chaleur traversant un élément de construction par m² de surface pour une différence de température de 1 K entre l'air ambiant et l’air extérieur.
Norme de contrôle de la valeur U pour les vitrages (Uv) : 52619 partie 2 coefficient de transmission thermique selon DIN 4108. Mesure de la résistance des plaques : DIN 52612 |
Verre double-couche résultant de l'assemblage homogène d’une couche de base incolore ou teintée et d’une couche d’enrobage de mêmes dimensions, également incolore ou teintée. |
Abréviation : ÜKV. |
Abréviation (allemande) utilisée pour les couvertures en verre |
UV. Plage de rayonnements Ă ondes courtes. |
Voir Anisotropie. |
Nouvelle dénomination de la valeur k |
Exprime la conformité d’un produit à la liste des réglementations applicables au bâtiment. 1. Nom du fabricant 2. Éléments fondamentaux du certificat de conformité
b) c) d) 3. Cachet ou désignation de l’organisme de certification, dans la mesure où son intervention est exigée. |
Verre feuilleté |
Terme générique désignant les assemblages de plusieurs plaques de verre, à l’instar du composite de résine moulée, ne présentant cependant aucune couche intermédiaire particulière, par opposition au verre feuilleté de sécurité. La confusion avec l'appellation verre feuilleté de sécurité est courante. |
Verre feuilleté de sécurité : |
Abréviation : VSG. |
Finition |
Voir : Finition de surface, Finition du verre. |
Sécurité du transport |
Un vitrage est adapté au transport lorsqu’il peut être manipulé sans risque d’endommagement dans des conditions spécifiques |
Vitrages verticaux |
Conformément aux prescriptions des Règles techniques pour les vitrages de forme linéaire, tous les vitrages présentant une inclinaison inférieure à 10 degrés par rapport à la verticale. |
Échauffement |
Voir : Polissage au feu |
Verre trempé |
Voir : Verre trempé de sécurité. |
Précontrainte |
Transformation du verre flotté en verre de sécurité, par évolution de la tension intérieure du matériau. Toute modification de la structure du verre (notamment la formation de fissure) implique de compromettre la tension de surface du matériau. Procédé de fabrication du verre trempé ou précontraint : a) précontrainte thermique : voir Verre trempé de sécurité. Du verre ayant subi un refroidissement ordinaire est chauffé de manière homogène au-delà de sa température de ramollissement. Le verre est ensuite refroidi brusquement par insufflation d'air froid, entraînant un figement instantané de la surface. La structure interne du matériau qui présente encore un état visqueux se resserre. De par cette différence structurelle, l’intérieur du verre (présentant une structure fermée de plus petit volume) maintient la surface de la plaque (présentant une structure ouverte plus volumineuse) sous tension).b) Précontrainte chimique : du verre ayant subi un refroidissement ordinaire est trempé dans une solution saline à haute température (sel fondu). Un échange ionique se produit ainsi à la surface du verre. L’effet peut être accentué par l'application d’une tension électrique. Les ions issus du verre, de petit volume, sont remplacés par des composés salins volumineux, générant une tension de compression à la surface. La modification de la tension interne du matériau est plus importante qu'avec le procédé de contrainte thermique. |
Terme générique désignant les assemblages de plusieurs plaques de verre, à l’instar du composite de résine moulée, ne présentant cependant aucune couche intermédiaire particulière, par opposition au verre feuilleté de sécurité. La confusion avec l'appellation verre feuilleté de sécurité est courante. |
Abréviation : VSG. |
Voir : Finition de surface, Finition du verre. |
Un vitrage est adapté au transport lorsqu’il peut être manipulé sans risque d’endommagement dans des conditions spécifiques |
Conformément aux prescriptions des Règles techniques pour les vitrages de forme linéaire, tous les vitrages présentant une inclinaison inférieure à 10 degrés par rapport à la verticale. |
Voir : Polissage au feu |
Voir : Verre trempé de sécurité. |
Transformation du verre flotté en verre de sécurité, par évolution de la tension intérieure du matériau. Toute modification de la structure du verre (notamment la formation de fissure) implique de compromettre la tension de surface du matériau. Procédé de fabrication du verre trempé ou précontraint : a) précontrainte thermique : voir Verre trempé de sécurité. Du verre ayant subi un refroidissement ordinaire est chauffé de manière homogène au-delà de sa température de ramollissement. Le verre est ensuite refroidi brusquement par insufflation d'air froid, entraînant un figement instantané de la surface. La structure interne du matériau qui présente encore un état visqueux se resserre. De par cette différence structurelle, l’intérieur du verre (présentant une structure fermée de plus petit volume) maintient la surface de la plaque (présentant une structure ouverte plus volumineuse) sous tension).b) Précontrainte chimique : du verre ayant subi un refroidissement ordinaire est trempé dans une solution saline à haute température (sel fondu). Un échange ionique se produit ainsi à la surface du verre. L’effet peut être accentué par l'application d’une tension électrique. Les ions issus du verre, de petit volume, sont remplacés par des composés salins volumineux, générant une tension de compression à la surface. La modification de la tension interne du matériau est plus importante qu'avec le procédé de contrainte thermique.
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Bord chaud |
Désignation des intercalaires MIG présentant des propriétés thermiques améliorées. |
Coefficient de dilatation thermique |
Formulation et symbole : ( du verre flotté (de 20 à 300 °C) : 9 x 10 K ) Exprime la déformation linéaire subie pour un réchauffement de 1 °C. En d'autres termes : une plaque de verre se dilate d’environ 0,009 mm par mètre linéaire pour une hausse d’un degré Kelvin (1 K). Mesure conforme à la norme DIN 52328 |
Verre d’isolation thermique |
Verre dont le revêtement (couches atomiques métalliques) laisse passer les rayonnements uniquement dans une plage de longueurs d’ondes donnée (transmission) et reflète les autres rayonnements (rayonnement thermique) (réflexion). |
Coefficient de transmission thermique |
Voir Valeur U |
Verre de protection thermique |
Voir : Verre d’isolation thermique |
Verre soluble |
Verre silicate alcalin, soluble dans l’eau. Produit de base des procédés sol-gel. |
Waterfall |
Polissage spécial des bords avec un profil à segment circulaire |
Verre blanc |
Verre utilisé dans les applications optiques, présentant une teneur réduite en fer afin de minimiser la teinte verdâtre. |
Verre blanc |
Verre particulièrement incolore. Produit selon des procédés spéciaux dans les cuves de fusion ou à partir de matières premières épurées (teneur en fer pauvre ou nulle). |
Désignation des intercalaires MIG présentant des propriétés thermiques améliorées. |
Formulation et symbole : ( du verre flotté (de 20 à 300 °C) : 9 x 10 K ) Exprime la déformation linéaire subie pour un réchauffement de 1 °C. En d'autres termes : une plaque de verre se dilate d’environ 0,009 mm par mètre linéaire pour une hausse d’un degré Kelvin (1 K). Mesure conforme à la norme DIN 52328 |
Verre dont le revêtement (couches atomiques métalliques) laisse passer les rayonnements uniquement dans une plage de longueurs d’ondes donnée (transmission) et reflète les autres rayonnements (rayonnement thermique) (réflexion). |
Voir Valeur U |
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Voir : Verre d’isolation thermique |
Verre silicate alcalin, soluble dans l’eau. Produit de base des procédés sol-gel. |
Polissage spécial des bords avec un profil à segment circulaire |
Verre utilisé dans les applications optiques, présentant une teneur réduite en fer afin de minimiser la teinte verdâtre. |
Verre particulièrement incolore. Produit selon des procédés spéciaux dans les cuves de fusion ou à partir de matières premières épurées (teneur en fer pauvre ou nulle). |
Xénon |
Gaz rare utilisé dans le remplissage pour l'amélioration de la valeur U dans le verre MIG. |
XINON |
Système de douche en verre développé par Glas Trösch. |
Gaz rare utilisé dans le remplissage pour l'amélioration de la valeur U dans le verre MIG. |
Système de douche en verre développé par Glas Trösch. |
Verre étiré |
Verre étiré par traitement mécanique. |
Côté étain |
Désignation du côté de la plaque de verre flotté en contact avec le bain d’étain. Celui-ci se caractérise par une résistance mécanique réduite mais une résistance chimique accrue. Reconnaissable par une légère fluorescence sous éclairage ultraviolet |
Résistance à la traction |
Tension Ă la rupture (Tension sigma Ă la rupture). |
Verre étiré par traitement mécanique. |
Désignation du côté de la plaque de verre flotté en contact avec le bain d’étain. Celui-ci se caractérise par une résistance mécanique réduite mais une résistance chimique accrue. Reconnaissable par une légère fluorescence sous éclairage ultraviolet |
Tension Ă la rupture (Tension sigma Ă la rupture). |